Ou,
La campagne, ça déménage !
Roman
Éditeur : Pingouin éditions
ISBN : 1664-6969
Ce week-end, je me rendis chez k@t pour l'aider dans son déménagement.
J'arrivai la veille au soir du jour dit, soit vendredi dernier. Après manger, la mère k@t me dit, de l'air innocent du cocker abattu : « Rico, il faudrait que tu m'aides à faire deux trois cartons de fringues que je n'ai pas eu le temps de terminer. »
Moi, bonne poire : « Ok, pas de problème » (ce que je me déteste quand je dis ça : pas de problème ! ) »
Nous commençâmes vers 21h00 autant que ma mémoire défaillante m'en souvienne, et nous terminâmes vers... 1h00 du mat', après avoir rempli 15 cartons de fringues ! Franchement, vous, les nanas, vous ne trouvez pas que vous exagérez à acheter sans cesse tout un barda de vêtements que vous ne mettez qu'une seule fois ?! Sans compter ceux que vous ne mettez jamais : « Tiens, regarde, cette robe-là a encore son étiquette, je l'ai jamais mise » GRRRRR !!!!!
Je ne vous narrerai pas le contenu des tiroirs et autres armoires de k@t. Sachez seulement qu'on peut être de la campagne et savoir rester sexy... Je n'en dirai pas plus... non, non, n'insistez pas... n'insistez pas, vous dis-je... bon, d'accord. Non, en fait, j'ai promis de ne rien dire des guêpières et autres jarretelles que j'ai vu passer sous mes yeux ébahis... Quoi, j'aurais dis quelque chose à l'insu de mon plein gré ? Ça m'étonne de moi !
Après en avoir terminé avec cette quinzaine de cartons (à l'intérieur desquels nous avions une fâcheuse tendance à nous endormir), nous nous couchâmes (c'est chiant, hein, cet emploi du passé simple !) chacun de notre côté car, contrairement à ce que vous fait penser votre esprit tordu, k@t et moi ne dormons pas ensemble (beurk, comme dirait k@t).
Ayant mis nos réveils respectifs à sonner à 6h00 du mat' ('tain, trop dur !), nous nous réveillâmes à l'heure sus-dite (sans jeu de mot). Les déménageurs bretons du 7-6 étant arrivés à l'heure (8h00 pétante), nous commençâmes le déménagement en question. Il va sans dire qu'après le transport d'une trentaine de cartons, tous mes muscles étaient bandés et luisants de sueurs, sueur qui perlait en gouttes le long de mon coup viril et de mes pectoraux saillants à travers mon polo blanc immaculé (mais je m'emporte !)
Nous chargeâmes moults cartons et moults meubles lourds comme une paire de seins gonflée par la moiteur de l'été, et nous nous dirigeâmes vers la nouvelle adresse de k@t, qu'elle m'a bien entendu demandé de taire (1664, allées des écureuils, 76069 ? Saint-Baratin-sur-viscose).
Nous déchargeâmes (sans jeu de mot là non plus) le mobilier sus-mentionné et l'affaire fut faite quand les onze coups de onze heures sonnèrent à ma montre « Younger & Bresson, Bresson, les montres qui donnent...l'heure ! », comme dit la publicité.
Après un rapide mais copieux déjeuner dans un grand restaurant américain renommé dont le chef est un certain Ronald, nous retournâmes à l'appartement afin d'y placer les meubles selon les goûts de k@t. Cinq heures et deux entorses plus tard, la miss fut enfin installée, les meubles montés, et mes muscles étaient à nouveaux bandés et luisants...mais vous connaissez la suite. Une douche et un somme sur la moquette plus tard, nous repartîmes en direction du centre ville afin d'y rencontrer un de ses amis, nommé Mike et ayant pour animal de compagnie un pingouin (les autochtones de cette contrée humide et lointaine ont de ces marottes, tout de même).
Nous longeâmes la rue Jeanne-d'Arc (reconnaissable entre toutes grâce à la pucelle qui y brûle dès la nuit tombée), et le fameux Mike, passant avec sa chariotte toute ferrée, nous prit à son bord. Il nous mena vers une auberge ou, paraît-il, les serveuses sont belles. Ce fut le patron rougeaud qui nous servit, secondé par un serveur maussade qui ne rigola pas à nos blagues pourtant fumeuses, comme on dit à La Havane. Nous commandâmes respectivement un verre de vin, un verre de vin, un verre de bière. Nous bûmes, et nous quittâmes Mike qui devait faire une course avec une marchande de légumes, ou marcher avec une coureuse de légume, enfin bref, nous ne comprîmes pas vraiment la raison qui le fit nous quitter, mais il nous quitta tout de même. Il n'omit pas cependant de nous indiquer un restaurant mexicain de sa connaissance. Fort de sa mémoire dopée aux oligo-éléments contenus dans son verre de vin, il nous traça avec une fidélité qu'on retrouve rarement chez un homme envers son épouse, il traça, disais-je un plan digne des plus célèbres portulans du XVème siècle. Nous nous dirigeâmes, k@t et moi, vers cette auberge mexicaine tant vantée par ce cher Mike, grand ami des Alcidés, (alcidophile diraient les savants, notamment ceux de Marseille). Ce faisant, nous passâmes par hasard devant un estaminet au doux nom de « cocktail bar 41 » où, à notre grand plaisir, les serveuses étaient très charmantes. Nous primes un cocktail : k@t une caïpirinha, moi un planteur. Le soir tombait, mais il faisait encore chaud, au bas mot 40° à l'ombre ainsi que dans mon planteur.
Pour des raisons purement amicales, je tairai ici la suite des événement afin de ne pas montrer à voir l'image déplorable que j'ai eu de k@t après ses trois caïpirinha qu'elle vomit lamentablement dans son assiette de tacos, tacos qui fut, il faut le dire, le moyen de transports que nous dûmes prendre pour rentrer à bon port. Je lui laisse le soin de vous en faire la primeur (comme disent les marchandes de fruits et légumes).
Toute ressemblance avec des personnages vomissant ou ayant vomi est indépendante de la volonté de l'auteur et de son degré d'alcoolémie.
Cette histoire peut contenir quelques contre vérités (notamment au dernier paragraphe) tout à fait fortuites, vous vous en doutez.
Victor Rico
40 commentaires:
'Tain Rico... !
T'avais promis de pas parler de mes dessous ! t'avais même levé la main droite et juré "jeuljure!" Faux frère ! Koman ki ma balancée le belge... Je rêve là.... J'croyais avoir un nami....Okay d'accord, si c'est la guerre.... :)
Bon, légers rectificatifs:
1) On a commencé à 22 heures, mais tout le monde s'en fout
2) Pour le polo blanc immaculé, il est pas resté immaculé longtemps, mais ceci est une autre histoire...que je ne manquerais pas de raconter, vu que tu m'as balanceman......Va te cacher, va.... :)
3)Oui, nous vimes 2 ou 3 vetements avec étiquettes mais une robe de soirée hyper décolletée ne peut pas se porter pour aller à Carrouf'. Pas de ma faute si mon ex, casanier, ne voulait pas aller plus loin que le supermarché du coin...
4) Y'a que toi ka pioncé sur ma mokette pendant ke je prenais ma douche , espèce de romano ! J'comprends pas koman on peut dormir kom une marmotte alors kon a rien fait de la journée... :)
5) 'Tain...t'aurais pu aller à la ligne, c'est pas aéré ton truc
6) Et kissé ki a oublié de parler des 2 parties de pétanke de dimanche ? Hé ? Rappelles moi kissé ki ha gagné ? Hum ?.....
7) Merci Rico de m'avoir donné un coup de main pour mon déménag' brin... Mais bon, j'oublies pas les zamis et kom tu ma balanceman, j'oublierais pas de te remercier à ma façon... La note va être salée, si tu vois ce que je veux dire :)
Je ne vois pas de quoi tu parles avec ton histoire de sel ?
T'inquiètes, t'inquiètes ... J'vais te rafraichir la mémoire...
Quoi, tu veux m'offrir un rafraichissement au "Cocktail bar 41" ? Chouette, j'arrive !
Tain les querelles de couple !!! Vous avez omis je le crains d'aborder le sujet de l'attaque des rongeurs du square, attaque durant laquelle Rico vi son dernier bras valide sur les 5 que le ciel lui conféra tomber, tranché net par Dark Squirrel, qui, lui jetant sa dernière noisette au visage ne pu du cul s'empêcher de lui dire : "Rico : che chuis ton père !".
"Non !!!" dis José qui passait par là, mais comme personne ici ne le connais, j' préfère taire son nom.
Blessé, dans son neurgeuil, Rico sorti de sa narine une gourde (je ne vise personne) de planteur qu'il vida d'un trait. La gourde, vide du coup, préféra alors partir et se cacher de honte et rencontra un chat qu'elle demanda en mariage pour oublier son amour perdu.
Alors arriva K@t sur sa K@tomobile super croix 76 aux enzimes gloutons (gnap gnap gnap) écoutant à fond sa chanson préférée (Rikita jolie fleur de javââââ !!!) et qui d'un geste désespéré se pencha pour embrasser Rico dans une ultime tentative pour le réanimer, lui assénant par là même un fort et très beau coup de casque dans les dents (la sotte !!! elle n'avait point retiré son casque... Ni ses bottes Aigle...), coup donc que les lampadaires, connaisseurs et amateurs de belles gravures, apploukirent avec les maillets à apploukir, de leurs ailes déployées avant de s'envoler pour ne pas rater leur migration annuelle comme tous les 6 mois.
Fatigués. Harrrrrassés... Nos deux zéros se rendirent alors à la taverne de l'oncle de l'amérique oubliée, pauvre et crue, qui vend sa cuisine comme ses soeurs vendent le corps sur les boulevards d'une capitale chaude et brutale, où de gros américains gavés de Bud, de superball et bandant de toutes leurs forces en carressant un pistolet automatique de calibre 45, viennent dégorger sur le monde leur sexes corrompus, gras et indécents.
Tacos !!! Tacos !!! Qu'ils furent bons ma foi, surtout ceux que Rico remplis lui même, les mains attachées et liées aux régles de connes bonduites qui le poussaient à ne pas s'endormir à table, utilisant ses petites lèvres inférieures qu'il mettait délicatement, avec un regard presque amusé, en forme de cheminée, tout en ronronnant comme une bête sauvage tandis que les cafards présents à table s'amusaient à imiter le bruit du feu dans la cheminée. Sont ils coquins.
K@t cheche. Elle se lève. Regarde par la fenêtre, prend une orangeade, arrache trois ailes à quatre mouches qui chantaient trop fort une Marseilleise grivoise. Se rassied. Regarde Rico. Lui carresse la tête. Le gratte derrière l'oreille. S'amuse de voir sa queue battre aussi vite : elle ne regrette pas d'avoir appelé sa mante religieuse domestique Rico. Elle mange. Elle mange encore. Rhum. Marrant ça comme les tacos ont le goût de rhum... Elle s'interroge, réveille le belge qui dort, sur le ventre, un léger vomi sortant encore de la bouche, une bosse pelvienne se faisant maintenant plus discrête...
Ahh... Décidement, quel grand cuisinier ce Rico ...
Ca ne me réussi pas les nuits blanches ... Je vais aller faire dodo tiens...
Vé, tu t'es total déchiré là.... Franchement, c'est hallucinant ! J'en reste baba au rhum d'admiration, tiens ! Keski fo manger pour être dans le même état que toua ? Alleeeez, vazy, dimoi ! Nan, pasque là, total respect ! Je m'incline...
Mais t'aurais pas avalé trop de viagrave,toi ? je te l'avais dit, c'est 2 pilules tous les 15 jours et pas 15 pilules tous les 2 jours ! :)
Bon, je te signale au passage que le pov' Rico, je ne permettrais pas de le réanimer en lui faisant du bouche à bouche, j'voudrais pas le traumatiser à tout jamais et perdre un ami :)je le réanime donc à grands coups de pieds dans le c*l et il m'en remercie, le pochtron.
Mé o fait, t'es pas encore couché toua ? File vite au lit avant ke je vienne te bercer à grands coups d'élastiks de porte jarretelles sur les fesses en guise de fouet en te chantant l'intégrale de Nana Mouskouri ! :)
Et fé gaffe , pasque j'en suis capable , tu m'connais! Nan mais !
Waouw, se faire fouetter par des elastiques de porte jarretelles sur les fesses ! La chance ! Et moi et moi, je peux y avoir droit, à l'elastique de porte jarretelle ?
Ouais,Rico, dans la gueule tu vas l'avoir l'élastique ! :)
Tu veux ke j'appelle Sandrine pour lui donner des idées en plus de celles qu'elle a déja ? Tiens , j'vais lui dire que si elle se déguise en écureuil, tu vas la remercier toute la nuit. Allé, vazy, files moi son numéro kon rigole !
Même pas peur !
'toute façon, elle s'est déjà déguisée en écureuil ! Je lui ai dit que c'était mon fantasme, du coup on va faire "la chose", elle déguisé en écureuil, moi, en chinchilla et sur une peau de bête ! Ça t'en bouche un coin-coin, hein ?
Et le hamster que je t'ai offert alors ? Z'en faites koi ?
Le hamster ? Quel hamster ? Tu confonds pas avec le hérisson en chaleur de Sandrine, par hasard ?
Nan, je parle du truc que t'enroules de scotch et qui fait "couik, couik !" quand t'essaie de l'approcher :)
J'vais te balancer à Brigitte Bardot, moi !
heu, non, pas Frigide Barjeot ! Je veux bien donner dans les peaux de bêtes, mais pas dans les vieilles peaux !
Et c'est pas "couik, couik", c'est "gruik, gruik", et c'est le bruit que je fais que je fais "la chose". Tu dois confondre avec qqn d'autre !
Ben je confonds queudalle, moi je suis célibataire, donc seule. Pas d'animos, rien. Même plus de vibro, le dernier a pété lors du dernier orage, il a pris un mauvais coup de voltage. Si céti pa la mizère... :)
T'inquiète, chez durex, ils vendent des vibro en libre service en parapharmacie ! Si tu veux, je t'en offrirai un pour ton anniv' (juré, craché, vomi !)
En plus, pour deux achetés, ils t'offrent un paratonnerre ! Intéressant, non ?
Et le coup de foudre est il garanti ? MDR ! :)
Tain, des coups de foudre, y en a eu des tonnes ici ce soir !!!
Fou ça... Et Rico n'était même pas en terrasse !!!
Et K@t n'était même pas sur sa kr@atmobile à turbo réaction essorage à 12000 tours !
Zavez tout raté !
Comment ça ? Y'avait un méga vibro dans le ciel qui a jeté des éclairs et fait mouillé le ciel de plaisir ! 'tain, j'ai raté quelquechose (heu, faut vraiment que j'aille voir Sandrine, moi...)
Un vibro géant ? Oussa ? Oussa ?!!!
Laissez m'en un peu les gars ! :)
heu, k@t, Mike peut te fournir des conconbres, si tu veux, via sa vendeuse de fruits et légumes ! ;-)
Des concombres ?!!! Oussa ? Oussa ?!!!
Dans mon caleçon ! (comment ça, c'est pas drôle ?)
Ca part vraiment en suçette ce post, c'est vraiment n'importekwa !
Pour les concombres, allez vous faire mettre des piments dans la boite à caca !!!
Laissez donc ma vendeuse tranquille. J'ai déjà réussi à vous faire croire qu'elle était en vacances le WE dernier...
Tiens, si j'ai assez de courage, j'irai la voir ce WE :)
Quel salaud ce pingouin ! Alors comme ça, elle n'était pas en vacances ! Pffft, c'est trop injuste ! M'en fout, quand je reviendrai, j'irai directement la voir ! Na ! Et je lui dirai les mots bleus, les mots qu'on dit avec les zieux !
'Tain, j'y crois pas, quel fourbe ce pingouin, il nous a carottés ! :)
Bon, t'inquiètes pas Mike, on te l'aurait pas piqué ta vendeuse, on n'est pas comme ça. Et pis Rico, maintenant il est okupé, donc tu risques rien de son coté.
Par contre, moi..., maintenant que je suis célibataire.... J'vais p'tête aller faire un tour au marché, moi......lui acheter des concombres... :)
J'vous l'avais pas dit, mais j'aime bien le type latin, moi zaussi...
En même temps, la blonde qui nous a servi la dernière fois au 41 était mignonne aussi...
Raahh... J'me tâte.... :)
Et devinez quoi, mon captcha c'est: G.A.Z.O.N ! :)
Rico, pour chanter "Les mots bleus" , tu dois pas avoir trop de mal en général , t'es toujours à 2kgrammes dans chaque oeil à chaque fois que tu sors.
Mike, tu perds rien pour attendre, dès que tu reviens de vacances, j'vais te faire courir moi.. Tu vas en suer, j'te le dis... Pour être belle, il faut souffrir...
En même temps, kan t'auras perdu ta bouée , tu me diras merci..
Pask'un pingouin avec une bouée, ça fait pas sérieux...
J'suis trop bonne moi.....
Nannn, j'le crois paaaaaaaasss ! Il a une bouée, le Mike ? Et les vendeuses de fruits et légumes, tu crois qu'elles aiment les bouées ? Moi, sans vouloir foutre la merde, je pense qu'elle préfèrent les ventres plats, comme celui de k@t, par exemple...
Vive le gazon !
kat, comment ça, 2kg à chaque oeil ? Je comprends pas ! C'est encore une expression de la campagne ? lol !
Rico ???
Taaaaaa guuuueuuullllle !!!!!!!
Ok, ok, ok, je le dis avant que K@t ne le dise :
Mon poids idéal tel que me l'a dit mon médecin c'est 69 Kilos ...
Juste pour être le 1er à le dire...
69 kilos, c'est ce qu'on appelle un poids vicieux !
Flûte à six schtoumpfs ! .....Mike ! Tu m'enlèves les mots de la bouche , là !
Moi ki m'appretais à faire un tout petit petit post sympa sucré salé, ben j'suis grillée...
Mince, alors....
Bon, moi ce que j'en dis ... Paske t'as pas l'air bien gras quand même.... T'es sûr que ton toubib il a pas des problèmes de vue ?
Et ça aurait changé kekchoz si j'avais dis "Preum's !" ?
Non, non, k@t, ça y est, j'ai deviné : sa bouée, elle n'est pas autour de son ventre !
Mike, t'es un gros cochonou ! (c'est ta maraichère qui va être contente !)
Zaites naze !
Ouais que j'ai une bouée, bien utile pour flotter dans l'océan des conneries qu'on peut dire sur internet !
Ben j'ai juste dit à K@t que mon poids idéal selon mon médecin c'était entre 68 et 70 kilos, donc quelque chose comme 69 kilos quoi. C'est pas ma faute à moi si c'est comme ça !!! :)
Pis oui, j'ai une bouée, et ça fait chier parce que j'ai des fringues que je ne peux plus mettre, et la c'est la tehon totale...
Fait chier tiens... C'est bien pour ça que je l'emmerde pas tellement ma vendeuse de fruits et légumes... Parce que plus vieux, avec des mômes, et une bouée, ben c'est pas gagné cette histoire, moi je vous le dis !!!
Bon, maintenant, moi, je vais m'expatrier du monde civilisé pendant plusieurs jours. Je laisse les clés de mon blogs à la concierge du net, et vous souhaite tout plein de bonnes grosses débilités à poster ! (j'ai confiance en vous !)
Que la force soit petits pois !
Maïke
Dis-donc, tu ne ferais pas une fixette sur ta bouée ? Tu as tant de kg à perdre que ça ? D'après ce que j'ai vu, je ne vois pas où tu aurais qqch à perdre. Ta soi-disant bouée, je l'ai pas vue : elle ne serait pas surtout dans ta tête, par hasard ?
Dans la tête .
Ben... Non. Elle est sur la balance...
75kg mon gars... Au lieu de 69...
Va les perde ces saloperies quand tu ne te bouges pas le Q...
Pffff...
Je suis d'accord avec David d'alerte à Malibu (à moins que ce soit alerte à planteur, ville bien connue du 9-3, j'sais plus), j'crois que c'est clair...
Bien sûr, il est nécessaire de s'entretenir car se laisser aller, c'est entretenir une mauvaise image de soi et ne pas se respecter.
Après, y'a des choses qui changeront pas ou peu (on n'ira pas, par exemple, en rajeunissant et on finira un jour par perdre toutes nos dents).
Et sur ce point, pour ne parler que de ça, j'crois qu'il faut s'accepter et s'aimer comme on est.
Laisser les autres nous regarder, nous apprécier tel qu'on est vraiment et ne pas vouloir leur donner l'image de ce que l'on voudrait être...Une pure icone qu'on ne sera jamais.
Bien sûr, on peut mettre de l'eau dans son vin. Mais "s'aliéner", se séparer de soi même, pour essayer d'être aimé de "l'autre ", agir en fonction de ce que l'on pense que l'autre va aimer ou ne pas aimer en nous est une erreur. J'en sais quelquechose.. 9 ans de vie commune ça fait réfléchir..
Et si les autres ça ne leur convient pas, c'est qu'il ne nous aiment pas ou peu. Donc ils ne nous aimeront pas plus si on est plus ci, ou si on est moins ça. Donc ça ne collera pas, quoi qu'on fasse, quelque soit l'énergie qu'on déploie. C'est qu'on était pas fait pour cela ou ceux la...
Aimer, à mon sens, c'est accepter l'autre avec ses qualités , ses "défauts" réels ou imaginaires (défaut, mot que je n'aime pas car il porte en lui une notion implicite de jugement) , c'est d'abord et essentiellement le respecter tel qu'il est, tel qu'il vit, tel qu'il pense, tel qu'il agit ou réagit.
Et avant de pouvoir être aimé de l'autre et de l'aimer, la première chose à assumer, c'est de s'aimer soi même. Réellement.Profondément.
Pas seulement en surface ou épisodiquement. Sans être égocentrique ou imbu de soi même, je crois , oui, que pour aimer les autres avec toute sincérité, pour que ça marche vraiment, longtemps et honnêtement,il faut d'abord s'aimer soi.
Mike, je te l'ai déja dit,je le pense réellement, ta bouée elle est d'abord dans ta tête.
'Tain, qu'est ce que je parle bien moi, ça me réussit d'être célibataire :)
Je lui dit qu'elle est dans sa tête, mais il veux pas m'écouter (ahh, ces hommes...)
Ma Sandrine (comment, j'ai dit MA Sandrine ? 'tain, ça craint !)...ma Sandrine, donc, elle m'a dit que les petits bidons dodus, ça ne la gênait pas... Et je crois savoir qu'il y a un tas de nanas qui aiment bien les hommes "confortables". Et toi, Mike, ça te déranges, les hanches un peu larges, les fesses un peu replettes ? Peut-être pas. Donc, pourquoi veux-tu que ça les dérangent, elles, nos petites bouées d'amour (après tout, à un certain âge, les femmes ont des hanges, nous, des bidons. C'est normal.)
Oui, dis-donc, k@t, ça te réussit, le célibat ! Je suis content de retrouver ma k@t telle que je la connais, avec le verre de vin aux lèvres... enfin je voulais dire, avec le sourire aux lèvres... :-D
Jeudi 03/08/06
Je viens de relire l'intégralité des commentaires de ce post : c'est hallucinant !
On est passé des dessous de k@t à une histoire de salière (que je n'ai pas très bien compris, d'ailleurs :-), puis est survenu un délire hallucinogène de Mike zeu pine-gou, ensuite, tout le monde a souhaité se faire fouetter par les porte-jarretelles de k@t, ensuite Brigitte Bardot est passé par là avec une hamster et des écureuils, puis, k@t a commencé à faire joujou avec un vibromasseur géant et des concombres, c'est alors que Mike nous a avoué que sa maraichère n'était pas en vacances et qu'il voulait lui montrer sa grosse bouée et enfin k@t est partie dans une tirade dithyrambique sur le soi, le paraître, l'amour propre, et tout un tas de choses qui ont valu à mon psy une cure à Sainte-Anne.
Waouh ! Quelle éloquence nous avons !
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